vendredi 13 mai 2011

vaovao gasy 2011 Mai 14 Sa

http://amnesty.org/fr/region/madagascar/report-2011

http://mk4.ti1ca.com/00gr49qq.jpg http://mk0.ti1ca.com/kwjfau71.jpg

http://ti1ca.com/ntrpvwow-vii-08-110514-Vaovao-Rindra-Hariva-vii_08_110514_Vaovao-Rindra_Hariva.MP3.html


http://ti1ca.com/kwjfau71-vii-08-110514-Vaovao-Longo-Hariva-2eme-edition-vii_08_110514_Vaovao-Longo_Hariva_2eme-edition.MP3.html



http://ti1ca.com/mw1aj5n5-vii-08-110514-Vaovao-Longo-Hariva-1ere-edition-vii_08_110514_Vaovao-Longo_Hariva_1ere-edition.MP3.html


http://ti1ca.com/97p6bdv2-vii-08-110514-RLM-Mahatsara-vahiny-Famelabelarana-nataonin-ny-HMF-vii_08_110514_RLM_Mahatsara-vahiny_Famelabelarana-nataonin-ny-HMF.MP3.html







http://www.madagascar-tribune.com/Les-coups-de-griffes-du-samedi-14,15888.html

Merci Tonton George !



j’aimerai juste ajouter que

1- tgv n’a pas pu prendre de parole devant l’assemblée lors de la reunion d’Instanbul



2- aucun photo officiel ni un communiqué conjont n’a eté de la « reunion de travail » avec le Ministre francais des affaires etrangeres Alain Juppé !

(seul les journalistes leches-bottes y avait accordé d’importance)



3- pire, malgré les photos affichées par le site web madagate.com, le porte-parole du SG de l’ONU a nié un rencontre ou interaction du SG de l’ONU avec andry rajoelina lors de ce sommet d’Instanbul.

Veuiller consulter ces deux sites web :

www.un.org/News/briefings/do...

www.un.org/News/briefings/do...

Et meme le site web de la Presidence turque ne fait pas mention du nom rajoelina ! (www.tccb.gov.tr)


Itony no vokatra azo tao anatin'izay roa taona izay!!
Reportage du Journal Suisse « Le Temps »: Rien ne va plus à Madagascar
Publié le 13 mai 2011 par tsimoka
Rien ne va plus à Madagascar
Yves Petignat
Source: http://www.letemps.ch/
Pouvoir corrompu du président Rajoelina, criminalité, misère endémique, crise économique… Lâchée par la communauté internationale, «L’Ile heureuse» d’hier est à genoux. Plongée au cœur d’une société minée
Madagascar n’en peut plus. «L’Ile heureuse» d’hier est à genoux. Deux ans de crise politique et économique, la mise à ban du gouvernement provisoire par la communauté internationale n’ont pas effacé l’hospitalité malgache, l’exotisme et la nature somptueuse. Mais le paradis pour touristes est devenu l’un des plus pauvres du monde.
La misère, les Malgaches connaissent. Mais l’insécurité, la violence, les agressions nocturnes, «cela finit par nous détruire, psychiquement. On est à bout nerveusement», s’excuse, pour justifier la défection de ses adhérents, Ambre Rama, responsable del’Association pour la protection de l’enfance à Antsirabe, la troisième agglomération du pays.
Toute la ville raconte comment, il y a quelques semaines, des bandes armées ont investi de nuit un quartier populaire, aligné les habitants des maisons pauvres, violé des femmes, maltraité les vieux et organisé des razzias sous la menace de leurs kalachnikovs. Tout le monde sait que des policiers véreux louent leur arme pour une nuit à quelques petits truands. La location d’une kalachnikov pour une nuit coûte 100 000 ariary, soit 50 francs. Et encore, au milieu des Hautes Terres (1500 m), Antsirabe, la ville d’eau, le «Vichy malgache», est plutôt calme et relativement sûre. Mais dans la capitale, Antananarivo, on déconseille au vahaza, l’étranger, de quitter son taxi dès la tombée du jour, ne serait-ce que pour faire 300 mètres sur l’avenue de l’Indépendance, les Champs-Elysées de l’île.
L’endroit le plus sûr est peut-être la prison, du moins à Antsirabe, tant celle de la capitale est décriée pour ses conditions épouvantables: 2600 prisonniers pour 800 places, sévices physiques, manque de gardiens, sous-alimentation. Loin des clichés misérabilistes, celle d’Antsirabe (500 détenus) passe pour un modèle dans toute l’Afrique: douches, toilettes séparées pour la grande chambre de 103 «lits». Sœurs Nella et Agnès y déploient une énergie tout italienne à améliorer l’hygiène et à aménager la scolarisation et quelques occasions de gains pour une centaine de malabars accros désormais à la broderie (!). Cela n’empêche pas la justice à deux vitesses qui peut voir un voleur de zébu condamné à une peine de prison à vie ou laisse deux tiers des 20 000 détenus de l’île en préventive depuis dix ans parfois

Aucun commentaire: